Victoria, se réveille !

*Le jeune femme était bien trop affaiblit pour tenter quoi que ce soit, elle se laissa donc faire par l'inconnu qui semblait savoir ce qu'il faisait, elle comprit qu'il avait belle et bien l'intention de l'aider, bien qu'elle ne savait point ce qu'il avait en tête, et lui en fut reconnéssante*

*Sa vision se faisait de plus en plus trouble et elle se sentait endormit.... de plus en plus endormit... etait elle entrain de mourire ? non il fallait lutter jusqu'a la dernière seconde. Elle prit la plus grande inspiration que lui permettait son etat*

*Philippe avait été pris de remords quand à son attitude envers la jeune femme, même si son frère était là, cette dernière avait besoin d'aide, il ne pouvait pas laisser les deux jeunes gens tout seuls, il retourna sur ses pas pour la deuxième fois lorsqu'il vit que Louis portait la jeune femme dont l'état semblait aller en empirant. Il couru vers eux*

- Oh mon Dieu....mais que se passe t-il.....elle va de plus en plus mal.

*Il regarda son frère, au début il était parti pour ne pas risquer de le mettre en colère contre lui, mais là, à le voir Louis n'était pas très content que son frère soit parti. Il ne bougeait pas, n'osant pas faire un geste de peur de le contrarier d'avantage.*

*la sentant partir se rapprocha à grands pas de son cheval, parlant d'une voix rassurante*

- Ne vous inquiètez pas, je ne suis pas homme a profiter d'une telle situation ! Je vais juste vous conduire à un médecin !

*vit revenir Philippe et fut surpris de se rendre compte que le retour de son frère le soulageait, même s'il ne pouvait s'empècher de lui en vouloir pour son départ*

*le regarda d'un air sévère*

- Vous n'auriez pas dû fuir Philippe, ej en vous aurait pas mordu ! Ce jeu, c'est moi qui l'ai commencé et même si la défaite est mon ennemi, j'aurais accépté ! Vous ne deviez pas vous abaisser, il en allait d'une vie !


*il confia la jeune femme à Philippe et monta en selle*

- Repassez-moi cette jeune personne, je vous prie ! Et regagnez Versailles au plus vite ! Je l'y emmène, je n'ai plus le choix à présent ! Ce jeu n'a fait que trop trainer les choses !

*tendit les bras vers Philippe pour y recevoir la jeune femme *

*La jeune femme etait a peine consciente, a présent ses yeux était clos, mais elle arrivait a comprendre quelque mot de leur conversation, le prince se faisait réprimandé, il parlait de l'emmené a versaille, et de quel jeu parlait t-il ? Mais Victoria n'avait pas la force de trouvé réponse a ses question*

*Son occupation première était d'essayé de ne pas sombré, en réspirant convenablement, et cela n'était pas simple affaire. Elle se sentait engourdit, n'arrivait pas a faire le moindre mouvement*

*Philippe reçevait les reproches de son frère, il savait qu'il les méritait, mais il était perdu, d'abord on lui disait qu'il fallait se soumettre, et ensuite on lui disait qu'il ne fallait pas qu'il s'abaisse. le jeune prince était complètement perdu. Il bredouilla.*

- Je vous demandes pardon Sire

*Il prit la jeune femme dans ses bras lorsque son frère la lui tendit et attendit qu'il soit monté sur son cheval, lorsque ce fut fait il la lui rendit puis baissa de nouveau les yeux.*

*le regarde bredouiler mais ne relève pas, conscient qu'il est plus simple pour tous que Philippe soit en constante position d'infériorité. De toute façon, même lui ne soufrirait pas d'avoir a essuyer des remarques du deuxième né. Il le regarda et prit la jeune femme contre lui se demandant encore comment ganger Versailles sans être vu et reconnu. Il se décida à demander à son frère u peu d'aide quoique cela pouvait lui coûter*

- Philippe, auriez-vous une idée d'où puis-je passer pour en pas être déranger et où conduire cette jeune femme ?

*n'aimais pas reconnaitre ses limites et se promis de ne jamais se retrouver dans cette position de quémander une information*

*Philippe était complètement abattu, d'abord on lui disait quelque chose, l'instant d'après on lui disait le contraire, il ne savait plus que faire, que dire et encore moins que penser. Il écouta son frère lui demander par où il pourrait passer pour pouvoir avoir de la tranquilité et surtout où il pouvait la cacher. Il leva un regard triste sur lui.*

- Si vous pensez qu'elle peut tenir une lieu, vous avez une maison à une lieue là-bas....ce sont des paysans qui y habitent,ils sont très aimables.....ils la soigneront, et cachez votre bague dans votre poche, ainsi je peux vous assurer qu'il ne vous reconnaitrons pas.......maintenant excusez-moi Sire mais.........j'ai à faire

*Ils'enfonça dans la forêt sans attendre la moindre réponse de son frère et lorsqu'il fut hors de sa vue, il tomba à genoux et se mit à pleurer.*

*il écouta son frère très attentivement*

- De toute façon, nous n'avons plus le choix ! Elle doit tenir !

*ressent le malaise de son frère, ne le comprends que trop bien. Il aimerait à cet inqtnt le prendre dans ses bras et retrouver ses liens qu'ils n'avaient ci=onnus que trop peu étatn jeunes. Ceci s'avérati toutefois impossible, totalment impossible ! Il le savait et le regrettait*

*Il le regarda dans les yeux essayant par ce moyen de lui transmettre l'attachement qu'il avait à son endroit*

- Merci mon frère, merci !

*il partit à bride abbatut après avoir retiré son anneau et l'avoir glisser au fond d'une de ses poches secrète de son costume*

*arrivé à la maison, il interpella directement les habitants depuis l'extèrieur, géné pour descendre par la jeune femme qui c'était évanouie*

*Philippe avait entendu les remerciements de Louis, mais cela ne changeait rien, il souffrait interieurement et ce n'est pas quelques belles paroles qui pourraient effacer sa douleur. Il resta dans la forêt, à pleurer.*



Les paysans

*Ils avaient entendus quelqu'un les appeler, ils sortirent donc de la maison*

- Oh là...que se passe t-il ? Vous avez besoin d'aide l'homme ? Hey mais que lui est-il arrivé à la p'tite dame ? Je m'en va vous aider....attendez

*Il s'approcha et aida Louis à descendre Victoria puis il entra avec eux dans la maison*

- Asseyez-vous, je m'occupe d'elle

*Il lui mit un peu d'eau sur le visage et la soigna comme il pu puis il revint vers Louis*

- Je peux vous offrir un verre ?

*il regarda le paysan s'approcher et se dit qu'il lui faudrait être très prudent afin de en pas se faire démasquer*

- Je vous remercie de votre aide !

*il le laissa emmener la jeune femme tout en surveillant ce qu'il e faisait. Il en profitait pour regarder autour de lui et ne croyait pas à la misère qui l'entourait. Il entra dasn la masure et regarda autour de lui en essayant de en pas paraître étonné. Il s'asit sur un bout de banc et regarda l'homme faire*

- JE veux bien boire, Monsieur, en effet ! pensez-vous qu'elle s'en remettra ?

*Victoria, etait étendut. Ses yeux etait toujours clos, et elle ne savait pas ou elle se trouvait, mais dans tout les cas elle était sure qu'elle n'était pas a versaille...Elle se fit soigné et l'eau sur son visage lui fit du bien*

*Aprés un long moment, elle réussit enfin a ouvrir les yeux, elle ne trouva pas la force de bouger mais observa le lieux ou elle se trouvait. La jeune femme sourit, elle était sauvé, elle avait réussit....Ou plutot, elle devait sa vie a cette inconnue....Et surement au prince france, car lorsque elle était affaiblit, elle était sure d'avoir entendu sa voix...Ou peut-être cela avait-t-il été un éffet de son imagination. Il lui avait même parut que l'inconnu avait grondé Monsieur.... Qui était t'il vraiment, cet homme ? *

Le paysan

*Il fini de s'occuper de Victoria et se leva pour aller chercher un verre d'eau*

*Il le donna à Louis*

- Tenez, je n'ai que ça à vous offrir.....ces maudits impôts nous ont encore tout pris cette année, je suis sûr que le Roi se fiche complètement de nous....enfin.

*Il jeta un coup d'oeil rapide à Victoria*

- Dam ...oh regardez...elle a ouvert les yeux.

*Il s'approcha d'elle et sourit*

- Bah alors m'dame, faut pas nous faire des frayeurs pareils

*le regarda et prit le verre*

- Je vous remercie !

*réfléchit un istant sur les paroles prononcées par cet homme et regardant autour de lui en pu que constater le fosé entre sa vie et celle de ses sujets. Il bu pensif et ne pu se retenir de demander*

- vous n'aimez pas votre Roi ?

*il bu doucement comme si cette eau était aussi précieuse que les plus grands vins gardés au fin fond des caves de versailles*

*il sourit et se sentit soulagé lorsqu'il entendit dire que la jeune femme reprenait conscience, il déposa le verre et se rendit à ses côtés*

- Vous sentez vous mieux, Madame ! Je soutiens que vous devriez voir un médecin !

Le paysan

*Il réfléchi, il ne savait pas trop comment répondre à sa question.*

- Ben, c'est-à-dire que....ce n'est pas que je ne l'aime pas, personnellement, mais si il se levait comme moi à 4 h tout les matins pour labourer un champ, et qu'après un garde passe pour prendre toute la récolte, et qu'il ne lui restait presque plus rien à manger croyez-vous qu'il serait heureux, je ne le penses pas, mais il s'en fiche, il est dans son château, et dès qu'il veut un poulet il en a un.....Vous vous rendez compte, il parait qu'à son repas il mange dix-huit plats......dix huit, et moi qui n'ait même pas un quignon de pain pour aller avec ma soupe....quand j'en ai....Je ne sais pas qu'elle est votre situation, mais moi......enfin bon, on y peut rien

*Il regarda Victoria*

- Il a raison vous savez, je suis point docteur moi....vous avez p'tet quequ'chose de sérieux.

*La jeune femme se sentait bien...elle gardait simplement quelque douleur a la tête, mais elle se doutait bien que les produit miracle n'existait pas au peuple*

*Victoria regarda le paysan, prit ses main et les sérra dans les sienne gentiment en signe de remerciment, elle lui souria et porta son intention sur le jeune homme*

*Elle lui sourit également, pour la première fois depuis leur rencontre*

-Monsieur... C'est a vous que je doit la vie ainsi qu'a la bonté de cet homme !

*Elle le regardait sérieusement*

-Je ne vous en serais jamais assez reconnaisante...Si vous saviez comme j'ai honte, d'avoir pu douter de votre honnêteté.... A présent j'ai une dette envers vous ! Demandé moi n'importe quoi...

*le regarde et se rassied pour écouter sa diatribe en tapotant du doigt la table, attentif toutefois*

*ne répond pas et reporte son attention sur la jeune femme*

*il l'écouta aussi et fut touchée de sa reconnaissance alors qu'il n'avait somme toute rien fait *

*s lève et s'approceh à ses côté*

- Madame, c'est à moi de vous remercier ! Aujourrd'hui, grâce à vous, j'ai découvert une aute face de ce monde ! Vous m'avez été d'une grande utilité ! Merci ! Et, vous ne me devez rien, où plutôt si ... ne jugez pas trop vite la famille royale ! Ils ne sont pas comme vous le pensez ! Je pense qu'à présent, je peux vous laisser ! Qu'en pensez-vsou ?

*la jeune femme l'écouta et fut réspécteuse envers sa Modestie*

-Je pense moi aussi, que vous avez assez donné de votre personne...Je vous sent trés attaché a la famille royal, sans doute êtes vous un proche ami au prince ?

*Victoria se posait encore beaucoup de question sur son identité, mais elle n'avez pas l'audace de les poser... Elle l'avait entendut parler au prince comme a un proche...Elle en avait donc déduit qu'il était sont ami*

-Quoi qu'il en soit transmettez lui ma grattitude ...!

*Elle sourit*

Le paysan

*Regarde Victoria*

- Vous savez m'dame, vous pouvez rester ici aussi longtemps qu'il vous sera nécessaire pour vous reposer, on est point riche avec ma femme, mais on a de la place pour vous accueillir si vous le désirez.

*Il regarda la jeune femme et lui sourit en remerciement*

- Je lui en ferai part et vous remercie de ne pas vous montrer plus indiscrète ! Je vous souhaite de vous rétablir et peut-être nous croiserons-nous de nouveau un jour !

*sait parfaitement que cela ne se reproduira pas, qu'il ne la croisera plus *

*regarde le paysan et le remercie d'un signe de tête*

- Je vous la confie ! Prenez-en soin et soyez sûr que s'il devait lui arriver malheur, j'en serais infomer ! Merci de votre complaisance et de vos soins !

*porte la main à sa ceinture, défait sa bourse et la dépose sur la table*

- Voilà , pour vous brave homme !

*ressort sa bague de sa poche et l'enfile*

- Je vais vous quitter à présent, mon devoir m'appelle !

*les salue*

*Victoria se redréssa pour se tenir assise, puis écouta l'inconnu parler tout en souriant. elle le regarda posé la bourse sur la table*

-J'espère moi aussi que le temp, nous appellera a nous revoir...!

*Puis elle le vit sortir sa bague. la jeune femme en fut a peine surprise, tout se tenait ! l'inconnu etait le Roi Soleil !!*

*Comment avait elle put renier cette idée...il y avait eu tant de signe...! A présent elle ne savait plus quoi penser...il y a quelque heure auparavant, le roi etait pour elle la personne la plus egoiste au monde, et pourtant il venait d'accomplir un tel acte de générosité qu'elle se devait d'avoué qu'elle c'était trompé....Encore une fois*

*Elle le regarda, d'un regard qui ne serais certainement plus jamais le même*

-Nous ne nous reverrons plus...Sire...

*Elle sourit*

-Merci...

*se retourne lorsqu'elle l'appelle par son titre et lui sourit*

- Vous m'avez dit de me demander ce que je voulais tout à l'heure, je vous demande donc, la plus grande discrétions sur ses évènements et excusez mon frère ! Il vous aurait porté secours si je n'avais été présent ! Que Dieu vous garde, Madame ! L'homme que je suis retourne à ses fonctions de Roi !

*Louis était habitué aux remerciements mais la plupart était fardés de mauvaises intentions. Celui d cette jeune femme était sincère et frais. Il en fut touché mais ne fit rientransparaitre : un Roi n'a pas de sentiment, seul la raison d'Etat le guide*

*Il se tourna vers le paysan*

- Venez à la prochaine audience du Roi, il accordera l'attention nécessaire à votre requète, j'en suis sûr !

Le Paysan

*Il n'en revenait pas, la personne qui était sous son toit était le Roi de France, et il venait de lui dire tout ce qui n'allait pas dans sa vie comme si il n'était qu'un simple voyageur. L'homme était devenu aussi pâle que la mort. Lorsque le Roi lui dit de venir à la prochaine audience, l'homme ne put que bredouiller*

- Ou...oui Sire

*Il regarda Victoria mais ne dit plus rien*


Philippe

*Le jeune prince était dans la forêt, il tentait de calmer ses pleurs, mais il n'y arrivait pas, il était complètement perdu. Tout ce en quoi il croyait, tout ce qu'il pensait comme acquis était complètement chamboulé. Il resta comme il était, il savait qu'il était à l'abri des regards et qu'il pouvait libérer toute sa tristesse accumulé au cours des années.*

*il les regarda et reprenant son costume de monarque sortit sans un seul regard derrière lui*

*il remonta en selle et partit sur les traces de Philippe qu'il soupçonnait de ne pas être rentré sur Versailles comme il lui en avait donné l'ordre *

*Il était inquiet à l'idée qu'il puisse arriver quoique ce soit à son frère*

*Il s'enfonça dans le bois et finit par apercevoir philippe*

*Ce qu'il voyait ne le réjouissait pas : entre l'agacement de le voir si faible et la peine de le voir souffrir*

*Il s'approcha au plus près, descedit et attacha son cheval à l'arbre le plus proche*

*et restant à distance de son frère*

- Philippe !

*Philippe pleurait toujours lorsqu'il entendit des pas qui s'approchaient de lui, il ne voulu pas lever la tête, il aurait dû se cacher, pour que personne ne le voit, mais lorsqu'il décida de se lever pour partir en courant, on l'interpela, il ne connaissait que trop bien cette voix, son frère était devant lui. Le prince se releva promptement, il savait que son frère n'aimait pas voir des gens faibles, aussi s'efforçait-il de ne pas l'être lorsqu'il était en sa présence, il l'avait déjà déçu une fois aujourd'hui, il était inutile de continuer. Il s'essuya les yeux mais n'osa pas les lever sur Louis.*

- Sire...Je.......Comment va la jeune femme ? Y avait-il quelqu'un dans la maison que je vous ai indiqué ?

*Il se décida quand même à regarder son frère*

- Je vous demandes pardon mon Roi, je n'aurais pas dû partir, j'aurais dû rester avec vous et cette jeune femme, mais je......

*Il ne continua pas, il ne voulait pas lui dire qu'il se sentait perdu, qu'il ne savait plus comment agir.*

Il s'approcha d'un pas lent et marqué comme redoutant une trop grande proximité avec Philippe*

- La jeune femme va mieux et le paysan en prendra grand soin !

*il finit par croiser le regard de Philippe et il n'y vit pas la même chose qu'à l'ordinaire*

- Philippe, nous étions loin de Versailles, moi-même je n'étais plus Roi à cet instant mais le commun des mortels ! Mais vous n'avez pu vous départir qu'un très court instant de poids de votre éducation ! Votre fuite n'était dû qu'à votre désir de voir le Roi dominer comme il se doit, comme on vous l'a inculqué ! Mais, elle était en danger et certaines siituations requièrent une attitude spéciale !

*plus il se rapprochait plus il était convanicu que Philippe portait en lui une blessure profonde dont il était en partie la cause. Il se sentait mal à l'idée de faire subir cela au seul membre de sa famille qui le respectait et qui se serait tuer pour lui. Mais comment se défaire de ces années passées enfermés dans un carquant trop étroit sans perdre sa dignité de souverain. Lui-même s'y perdait*